Une retouche pour le solde bancaire de Glambook, car il vise à être Airbnb pour les professionnels de la beauté

Dans le monde de la beauté, les professionnels indépendants finissent souvent par louer une chaise dans un salon. Glambook estime que le marché est mûr pour une perturbation technologique, pas très différente de la location d’une chaise dans la voiture de quelqu’un (Uber), d’un bureau dans le bureau de quelqu’un (WeWork) ou d’une chambre avec vue dans la maison de quelqu’un (Airbnb). La société a levé 2,5 millions de dollars pour une valorisation de 12 millions de dollars.

Le nouvel investissement sera utilisé pour développer la clientèle existante de l’entreprise et soutenir l’infrastructure naissante. La société ouvre des espaces de co-working beauté à travers Londres pour commencer et envisage une expansion internationale. En plus de ses propres biens immobiliers, la société accueille déjà 20 000 professionnels indépendants dans 50 villes européennes, pour des rendez-vous à domicile, au bureau ou en salon.

« Une nouvelle génération de consommateurs considère les marques de beauté comme des entités auxquelles elles peuvent accéder via une variété de points d’intersection, y compris physiques et numériques. Ils attendent la même qualité de service en magasin, sur le site internet et sur les réseaux sociaux, Glambook devient donc un pont entre les beauty makers et les clients », déclare Alex Tomchenko, PDG de Glambook.

Un groupe de business angels a investi dans le tour de table. L’un des plus connus est Vlad Pinskij, le fondateur d’Endel, une startup de série B basée à Berlin.

Glambook a son siège social à Berlin, en Allemagne.

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