Chère Sophie : Questions sur les cartes vertes et les dates de priorité EB-2

Voici une autre édition de « Dear Sophie », la colonne de conseils qui répond aux questions liées à l’immigration sur le travail dans les entreprises technologiques.

« Vos questions sont vitales pour la diffusion des connaissances qui permettent aux gens du monde entier de s’élever au-delà des frontières et de poursuivre leurs rêves », déclare Sophie Alcorn, un avocat spécialisé en droit de l’immigration dans la Silicon Valley. « Que vous soyez dans les opérations humaines, fondateur ou à la recherche d’un emploi dans la Silicon Valley, j’aimerais répondre à vos questions dans ma prochaine chronique.

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Chère Sophie,

Je suis un designer UX/UI en Europe travaillant dans une entreprise web3 aux États-Unis.

J’aimerais démissionner de mon poste actuel et déménager aux États-Unis pour poursuivre un travail qui me permet d’avoir plus d’autonomie, de flexibilité et la capacité d’entreprendre une variété de projets avec différents clients aux États-Unis.

Comment puis-je faire en sorte que cela se produise ? Merci pour ton aide!

—Merveille mondiale du web3

Cher mondain,

Je me suis longtemps demandé si le web3 rendrait l’immigration obsolète. La technologie met à l’échelle le travail passif, intensifiant et élevant l’expérience humaine. Je ne pense pas que l’immigration ira n’importe où bientôt!

Plongeons-nous dans certaines des options d’immigration américaines qui vous aideront à obtenir l’autonomie et la diversité de travail dont vous rêvez !

Le visa de travail qui vous permet de travailler en freelance…

Une image composite de l'avocate en droit de l'immigration Sophie Alcorn devant un arrière-plan avec un logo TechCrunch.

Crédits image : Joanna Buniak/Sophie Alcorn (Ouvre dans une nouvelle fenêtre)

La plupart des visas de travail non-immigrant qui vous permettent de rester et de travailler temporairement aux États-Unis sont liés à un employeur spécifique qui vous parraine pour le visa en vous proposant un emploi et en déposant une demande de visa en votre nom.

À moins que vous ne puissiez obtenir un permis de travail, un seul type de visa principal vous permet clairement de faire du travail indépendant – en d’autres termes, de travailler avec plusieurs entreprises – et c’est le visa O-1. Avec un O-1A, vous aurez besoin d’un agent américain agissant en tant qu’employeur ou représentant plusieurs employeurs pour vous parrainer pour l’O-1. Un collègue dans votre domaine peut agir en tant qu’agent américain, mais la pétition doit fournir les détails de la relation entre vous en tant que bénéficiaire O-1 et l’agent américain.

L’O-1 ne vous offre pas une autonomie complète, mais il vous laissera la liberté de choisir une variété de projets dans votre domaine au sein de différentes organisations.

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