Cette ancienne future licorne sera-t-elle vendue pour pièces détachées ?

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Faites des prédictions et légendes urbaines avec scepticisme : Luko n’est pas la prochaine licorne de France, et Paul McCartney n’est pas mort. Aujourd’hui, la rumeur veut que les fusions et acquisitions dans le domaine de l’assurance soient hors de question. Quant à moi, j’écouterai les Beatles. — Anna

Interrogations sur une « immense réussite »

Au cours de l’été, on apprenait que l’insurtech française Luko avait évité ce qui semblait être une insolvabilité imminente en acceptant d’être rachetée par l’assureur britannique Admiral Group. Ce n’était pas le parcours que ses investisseurs avaient envisagé lorsqu’ils avaient investi 72 millions d’euros dans la startup, mais ce n’était pas la fin du chemin.

Cependant, des rumeurs ont émergé il y a quelques jours selon lesquelles Admiral renonçait à racheter Luko.

Nous ne connaîtrons pas avec certitude le sort de Luko avant au moins le 7 novembre, prochaine échéance judiciaire. Mais selon L’Argus de l’Assurance, le média d’assurance qui a eu le scoop, la restructuration de la dette de 45 millions d’euros de la startup est devenue un point de blocage, les créanciers BNP Paribas et Triple Point Ventures espérant tous deux récupérer leur argent. dos l’un avant l’autre.

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