Pourquoi certaines startups ne veulent pas être appelées ainsi

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Pour la première fois, la France était l’un des pays les mieux représentés dans le lot été 22 de Y Combinator. Trois des huit startups françaises sélectionnées par YC sont également d’anciens résidents du campus Station F à Paris, nous avons donc discuté avec sa directrice, Roxanne Varza, pour comprendre comment cela s’est passé et ce que d’autres pourraient en apprendre. Plongeons dedans. — Anne

Rencontrez les Français

La France figurait parmi les cinq premiers pays représentés dans le lot S22 de YC, avec huit de ses startups rejoindre la dernière cohorte de l’accélérateur. C’était moins que les États-Unis, l’Inde, le Royaume-Uni et Israël. Mais c’était plus que l’Allemagne, qui a envoyé six startups à YC cette année – un quasi-record pour le pays, mais aussi moins impressionnant compte tenu de sa population plus importante que celle de la France.

En termes absolus, la France n’égale que son propre record S21, mais ce lot comptait 390 participants. Comme TechCrunch l’a rapporté le mois dernier, le lot YC S22 était beaucoup plus petit, avec quelque 240 équipes. Cela signifie que la représentation française est proportionnellement à la hausse, de bon augure pour l’objectif de la France d’abriter 100 licornes d’ici 2030.

Ajoutons une mise en garde que nous suivons YC en utilisant le « français » de manière lâche ici – presque chacune de ces huit équipes a une composante distante, et certaines ont également une présence aux États-Unis ou dans d’autres pays. Cependant, ce n’est pas spécifique à la France, car YC a noté que parmi les startups de son dernier lot, 35% étaient à distance et 37% étaient compatibles avec la distance.

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